Entre les 29-30 septembre 2018 s’est déroulé à Bucarest la IIème édition des Journées de réflexion sur la formation professionnelle de l’Association Roumaine des Professeurs Francophones.
Cette rencontre a favorisé le développement du projet retenu par la Fédération Internationale des Professeurs de Français, dans le cadre de l’appel Initiative nationale et/ou régionale. Le projet initié par l’Association Roumaine des Professeurs Francophones, intitulé, Le français sans frontières a été conçu en partenariat avec l’Association Belge des Professeurs de Français, l’Association des Professeurs de Français de Bulgarie et l’Association des Professeurs de Français de la République de Macédoine.
Le programme a été centré sur quatre ateliers et deux tables rondes. Plus de 100 participants ont été présents à cette réunion, dont 10 professeurs de Bulgarie, 2 professeurs de Belgique et 10 de Macédoine.
La problématique autour de l’enseignement de la littérature, l’expression orale, sur la formation des professeurs de DNL et des professeurs débutants a suscité des débats et a donné lieu à un échange d’idées et de bonnes pratiques.
Les deux tables rondes animées par madame Christiane Buisseret, la présidente de l’Association Belge des Professeurs de Français et par Mme Doina Spita, vice-présidente de la FIPF ont eu comme point de mire la vie associative : Quelle place donner à la vie associative et quel engagement à prendre ? En quoi le contexte mondial économique et politique produit des changements au niveau de l’enseignement-apprentissage du français ? Comment les associations des professeurs de français peuvent déclencher des changements au niveau de la formation professionnelles et au niveau de la vie associative ?
Nous avons été honorés par la présence de monsieur Eric Poppe, le délégué général de la Délégation Wallonie Bruxelles, le directeur régional de l’AUF, monsieur Mohamed Ketata, monsieur Michel Monsauret, attaché de coopération éducative de l’Institut Français, Mme Manuela Anghel, inspectrice générale du Ministère de l’Education Nationale et Mme Clementina Anghel, inspectrice de français de Bucarest.
Nous remercions vivement la FIPF de nous avoir fourni l’opportunité de cette riche rencontre professionnelle et culturelle.
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