Association des éditeurs francophones au Sud du Sahara, Afrilivres, a décerné, samedi dernier à Dakar, son Prix de l’Edition 2016 à la Maison Edilis de Côte d’Ivoire avec le roman « Saramania ou la femme qui voulait coute que coute enfanter » de Célestin Lella-Kouassi.
La Maison d’édition Edilis de Côte d’Ivoire a été désignée, samedi dernier, lauréate du Prix Afrilivres d’Edition 2016. Edilis a été distinguée avec le roman « Saramania ou la femme qui voulait coute que coute enfanter » de Célestin Lella-Kouassi. Edilis recevra un chèque de 10.000 euros (6.500.000 FCfa). Le jury était présidé par Baytir Kâ (Sénégal), formateur, président de l’Association des professeurs de français d’Afrique et de l’Océan indien (Apfa-Oi).
Il avait à ses côtés Anges-Félix Ndakpri (Côte d’Ivoire), éditeur, président de l’Association des éditeurs de Côte d’Ivoire et Ousmane Konaté (Mali), enseignant, directeur éditorial des Editions Le Figuier. Le président Baytir Kâ est revenu sur les principaux caractéristiques qui ont valu le choix de la Maison d’édition Eilis.
Parmi la trentaine de critères figurent en bonne place le format du livre, le grammage du papier, les caractères, la couverture, la disposition des paragraphes, l’interlignage, conformité des illustrations avec le texte, entre autres. « Si j’entre dans une librairie, une bibliothèque, ce qui m’impressionne, c’est la beauté du texte, du format sans être un connaître », a expliqué B. Kâ ajoutant que le jury a travaillé en toute impartialité sur des livres venus d’aires géographiques différentes (Mali, Cameroun, Côte d’Ivoire, etc.)
Selon les mots du président d’Afrilivres, Abdoulaye Fodé Ndione, l’une des préoccupations de l’Oif, qui a parrainé ce concours, c’est de promouvoir l’édition en Afrique qui peine à décoller d’où le choix d’accompagner le Prix Afrilivres de l’édition mais aussi le Salon de l’écrit en langues africaines (Saela
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Association des éditeurs francophones au Sud du Sahara, Afrilivres, a décerné, samedi dernier à Dakar, son Prix de l’Edition 2016 à la Maison Edilis de Côte d’Ivoire avec le roman « Saramania ou la femme qui voulait coute que coute enfanter » de Célestin Lella-Kouassi.
La Maison d’édition Edilis de Côte d’Ivoire a été désignée, samedi dernier, lauréate du Prix Afrilivres d’Edition 2016. Edilis a été distinguée avec le roman « Saramania ou la femme qui voulait coute que coute enfanter » de Célestin Lella-Kouassi. Edilis recevra un chèque de 10.000 euros (6.500.000 FCfa). Le jury était présidé par Baytir Kâ (Sénégal), formateur, président de l’Association des professeurs de français d’Afrique et de l’Océan indien (Apfa-Oi).
Il avait à ses côtés Anges-Félix Ndakpri (Côte d’Ivoire), éditeur, président de l’Association des éditeurs de Côte d’Ivoire et Ousmane Konaté (Mali), enseignant, directeur éditorial des Editions Le Figuier. Le président Baytir Kâ est revenu sur les principaux caractéristiques qui ont valu le choix de la Maison d’édition Eilis.
Parmi la trentaine de critères figurent en bonne place le format du livre, le grammage du papier, les caractères, la couverture, la disposition des paragraphes, l’interlignage, conformité des illustrations avec le texte, entre autres. « Si j’entre dans une librairie, une bibliothèque, ce qui m’impressionne, c’est la beauté du texte, du format sans être un connaître », a expliqué B. Kâ ajoutant que le jury a travaillé en toute impartialité sur des livres venus d’aires géographiques différentes (Mali, Cameroun, Côte d’Ivoire, etc.)
Selon les mots du président d’Afrilivres, Abdoulaye Fodé Ndione, l’une des préoccupations de l’Oif, qui a parrainé ce concours, c’est de promouvoir l’édition en Afrique qui peine à décoller d’où le choix d’accompagner le Prix Afrilivres de l’édition mais aussi le Salon de l’écrit en langues africaines (Saela
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La Maison d’édition Edilis de Côte d’Ivoire a été désignée, samedi dernier, lauréate du Prix Afrilivres d’Edition 2016. Edilis a été distinguée avec le roman « Saramania ou la femme qui voulait coute que coute enfanter » de Célestin Lella-Kouassi. Edilis recevra un chèque de 10.000 euros (6.500.000 FCfa). Le jury était présidé par Baytir Kâ (Sénégal), formateur, président de l’Association des professeurs de français d’Afrique et de l’Océan indien (Apfa-Oi).
Il avait à ses côtés Anges-Félix Ndakpri (Côte d’Ivoire), éditeur, président de l’Association des éditeurs de Côte d’Ivoire et Ousmane Konaté (Mali), enseignant, directeur éditorial des Editions Le Figuier. Le président Baytir Kâ est revenu sur les principaux caractéristiques qui ont valu le choix de la Maison d’édition Eilis.
Parmi la trentaine de critères figurent en bonne place le format du livre, le grammage du papier, les caractères, la couverture, la disposition des paragraphes, l’interlignage, conformité des illustrations avec le texte, entre autres. « Si j’entre dans une librairie, une bibliothèque, ce qui m’impressionne, c’est la beauté du texte, du format sans être un connaître », a expliqué B. Kâ ajoutant que le jury a travaillé en toute impartialité sur des livres venus d’aires géographiques différentes (Mali, Cameroun, Côte d’Ivoire, etc.)
Selon les mots du président d’Afrilivres, Abdoulaye Fodé Ndione, l’une des préoccupations de l’Oif, qui a parrainé ce concours, c’est de promouvoir l’édition en Afrique qui peine à décoller d’où le choix d’accompagner le Prix Afrilivres de l’édition mais aussi le Salon de l’écrit en langues africaines (Saela
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La Maison d’édition Edilis de Côte d’Ivoire a été désignée, samedi dernier, lauréate du Prix Afrilivres d’Edition 2016. Edilis a été distinguée avec le roman « Saramania ou la femme qui voulait coute que coute enfanter » de Célestin Lella-Kouassi. Edilis recevra un chèque de 10.000 euros (6.500.000 FCfa). Le jury était présidé par Baytir Kâ (Sénégal), formateur, président de l’Association des professeurs de français d’Afrique et de l’Océan indien (Apfa-Oi).
Il avait à ses côtés Anges-Félix Ndakpri (Côte d’Ivoire), éditeur, président de l’Association des éditeurs de Côte d’Ivoire et Ousmane Konaté (Mali), enseignant, directeur éditorial des Editions Le Figuier. Le président Baytir Kâ est revenu sur les principaux caractéristiques qui ont valu le choix de la Maison d’édition Eilis.
Parmi la trentaine de critères figurent en bonne place le format du livre, le grammage du papier, les caractères, la couverture, la disposition des paragraphes, l’interlignage, conformité des illustrations avec le texte, entre autres. « Si j’entre dans une librairie, une bibliothèque, ce qui m’impressionne, c’est la beauté du texte, du format sans être un connaître », a expliqué B. Kâ ajoutant que le jury a travaillé en toute impartialité sur des livres venus d’aires géographiques différentes (Mali, Cameroun, Côte d’Ivoire, etc.)
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Il avait à ses côtés Anges-Félix Ndakpri (Côte d’Ivoire), éditeur, président de l’Association des éditeurs de Côte d’Ivoire et Ousmane Konaté (Mali), enseignant, directeur éditorial des Editions Le Figuier. Le président Baytir Kâ est revenu sur les principaux caractéristiques qui ont valu le choix de la Maison d’édition Eilis.
Parmi la trentaine de critères figurent en bonne place le format du livre, le grammage du papier, les caractères, la couverture, la disposition des paragraphes, l’interlignage, conformité des illustrations avec le texte, entre autres. « Si j’entre dans une librairie, une bibliothèque, ce qui m’impressionne, c’est la beauté du texte, du format sans être un connaître », a expliqué B. Kâ ajoutant que le jury a travaillé en toute impartialité sur des livres venus d’aires géographiques différentes (Mali, Cameroun, Côte d’Ivoire, etc.)
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La Maison d’édition Edilis de Côte d’Ivoire a été désignée, samedi dernier, lauréate du Prix Afrilivres d’Edition 2016. Edilis a été distinguée avec le roman « Saramania ou la femme qui voulait coute que coute enfanter » de Célestin Lella-Kouassi. Edilis recevra un chèque de 10.000 euros (6.500.000 FCfa). Le jury était présidé par Baytir Kâ (Sénégal), formateur, président de l’Association des professeurs de français d’Afrique et de l’Océan indien (Apfa-Oi).
Il avait à ses côtés Anges-Félix Ndakpri (Côte d’Ivoire), éditeur, président de l’Association des éditeurs de Côte d’Ivoire et Ousmane Konaté (Mali), enseignant, directeur éditorial des Editions Le Figuier. Le président Baytir Kâ est revenu sur les principaux caractéristiques qui ont valu le choix de la Maison d’édition Eilis.
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La Maison d’édition Edilis de Côte d’Ivoire a été désignée, samedi dernier, lauréate du Prix Afrilivres d’Edition 2016. Edilis a été distinguée avec le roman « Saramania ou la femme qui voulait coute que coute enfanter » de Célestin Lella-Kouassi. Edilis recevra un chèque de 10.000 euros (6.500.000 FCfa). Le jury était présidé par Baytir Kâ (Sénégal), formateur, président de l’Association des professeurs de français d’Afrique et de l’Océan indien (Apfa-Oi).
Il avait à ses côtés Anges-Félix Ndakpri (Côte d’Ivoire), éditeur, président de l’Association des éditeurs de Côte d’Ivoire et Ousmane Konaté (Mali), enseignant, directeur éditorial des Editions Le Figuier. Le président Baytir Kâ est revenu sur les principaux caractéristiques qui ont valu le choix de la Maison d’édition Eilis.
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La Maison d’édition Edilis de Côte d’Ivoire a été désignée, samedi dernier, lauréate du Prix Afrilivres d’Edition 2016. Edilis a été distinguée avec le roman « Saramania ou la femme qui voulait coute que coute enfanter » de Célestin Lella-Kouassi. Edilis recevra un chèque de 10.000 euros (6.500.000 FCfa). Le jury était présidé par Baytir Kâ (Sénégal), formateur, président de l’Association des professeurs de français d’Afrique et de l’Océan indien (Apfa-Oi).
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La Maison d’édition Edilis de Côte d’Ivoire a été désignée, samedi dernier, lauréate du Prix Afrilivres d’Edition 2016. Edilis a été distinguée avec le roman « Saramania ou la femme qui voulait coute que coute enfanter » de Célestin Lella-Kouassi. Edilis recevra un chèque de 10.000 euros (6.500.000 FCfa). Le jury était présidé par Baytir Kâ (Sénégal), formateur, président de l’Association des professeurs de français d’Afrique et de l’Océan indien (Apfa-Oi).
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Il avait à ses côtés Anges-Félix Ndakpri (Côte d’Ivoire), éditeur, président de l’Association des éditeurs de Côte d’Ivoire et Ousmane Konaté (Mali), enseignant, directeur éditorial des Editions Le Figuier. Le président Baytir Kâ est revenu sur les principaux caractéristiques qui ont valu le choix de la Maison d’édition Eilis.
Parmi la trentaine de critères figurent en bonne place le format du livre, le grammage du papier, les caractères, la couverture, la disposition des paragraphes, l’interlignage, conformité des illustrations avec le texte, entre autres. « Si j’entre dans une librairie, une bibliothèque, ce qui m’impressionne, c’est la beauté du texte, du format sans être un connaître », a expliqué B. Kâ ajoutant que le jury a travaillé en toute impartialité sur des livres venus d’aires géographiques différentes (Mali, Cameroun, Côte d’Ivoire, etc.)
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